A few days ago we told you about a little dog that GIVE US A VOICE rescued from street beggars in Luxembourg (see https://www.facebook.com/giveusavoiceletzebuerg/photos/a.1518120708446867.1073741836.1505184473073824/1580545145537756/?type=1&theater). When she was rescued, she was very lethargic – a result of being drugged, her fur was matted and she was horribly frightened. For the first two days all she did was hide and tremble when anyone came near her.

Gypsy, as we have christened her, is still very shy but she is coming around. With patience and love, she is gaining more confidence every day. She now wags her tail a bit, rolls over for belly rubs and even made a few doggie friends. It will take time before she can fully trust people again, but like all dogs, she is forgiving and just wants to be loved. She is blossoming like a flower and we couldn’t be more happy for her!

 

Il y a quelques jours, nous vous avons informé que le président de GIVE US A VOICE a interpelé deux mendiant roumains qui demandaient l’aumône aux passants de la Grand’rue à Luxembourg-Ville, sous prétexte de devoir acheter de la nourriture pour leur pauvre chien, qui était allongé aux pieds des mendiants. Le pauvre chien était sous l’effet de drogues, une façon d’agir très répandue afin de calmer le chien afin qu’’il ne contrecarre pas leur intention réelle – tirer de l’argent des poches des passants en faisant allusion au pauvre chien malade et affamé. En réalité, le pauvre animal est juste un alibi pour collecter de l’argent pour les roumains , qui travaillent en bande organisées. Lorsque Daniel Frères, déterminé comme on le connaît lorsqu’il s’agit d’animaux maltraités, arracha des mains des loubards le chiot, qu’ils avaient jeté dans un sac en plastique pour le transporter vers une autre place stratégiquement bonne pour mendier . Les hommes prirent le fuite après une petite querelle avec notre président , laissant le pauvre chiot dans la main de Mr. Frères qui, à son habitude amena le chien dans sa maison pour le faire soigner par un vétérinaire et essayer de revitaliser cette pauvre bête anxieuse et affamée aux poils emmêlés, totalement amorphe à cause des drogues que ses anciens propriétaires lui avaient injectées. Les premiers jours, il se cacha dès que quelqu’un s’approcha de lui en tremblant de peur. « Gipsy, » c’est le nom que nous lui avons donné, reste anxieux, mais son état d’âme s’améliore de jour en jour ! Il remue déjà, timidement, la queue quand nous lui adressons la parole, s’est fait quelques amis dans la horde de chiens de Daniel Frères, et, de temps à autre, se met sur le dos afin que quelqu’un le câline et gratte son ventre. Le temps viendra où Gipsy reprendra confiance envers les hommes. La pauvre petite bête, qui n’a connu que des mauvais moments dans sa vie actuelle, n’aspire qu’à une seule chose : être aimé et rendre cet amour au décuple de son nouveau propriétaire ! Nous sommes heureux de voir Gipsy s’accoutumer doucement, mais surement, à une qualité de vie digne de tout être humain et de ne plus être maltraité par ces gens qui réduisaient Gipsy à un objet qui leur apporte de l’argent de personnes de bonne foi, qui adorent les bêtes, et qui étaient persuadés que l’argent qu’ils avaient donné aux mendiants, était bel et bien destiné à la guérison de leur chien.

Un grand Merci à tous ceux qui soutiennent notre mission : la lutte contre toutes celles et tous ceux, pour qui un chien n’est qu’un moyen de gagner de l’argent !